Un nouveau propriétaire, un nouveau nom et une réouverture après la pandémie de coronavirus. Les habitués de l’établissement l’attendaient avec impatience. Mais à l’exception d’une soirée illégale, il ne s’est absolument rien passé à la Villa Leuven. “Nous avons été victimes d’une sorte d’arnaqueur de Tinder, mais pour les boîtes de nuit”, explique le propriétaire Vincent Van Trier, qui souhaitait revendre le club. L’acheteur Jordy De Munck semblait fiable, mais du jour au lendemain, il n’a plus donné signe de vie. Et le patron de la boîte a vite compris qu’il n’était pas la seule victime de cet escroc.